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Mandats offerts actuellement

Les coopérant(e)s volontaires sont une ressource précieuse pour le développement et contribuent concrètement à l’atteinte des résultats.

Les mandats de coopération volontaire offerts sont d’une durée variant d’une semaine à huit mois (souvent renouvelables).

Il est également possible de soutenir les coopérant(e)s volontaires depuis le Canada en agissant comme mentors expert(e)s.

Bien que des postes soient disponibles tout au long de l’année, les périodes privilégiées pour le recrutement sont avril-mai et novembre-décembre.

Pour connaître toutes les offres d’ASFC et de l'IBCR en matière de coopération volontaire, consultez les pages des organisations.

Profils recherchés

Le consortium ASFC-IBCR concentre son action sur les questions relatives aux droits humains. Pour ce faire, il mise principalement sur l’expertise de conseiller(ère)s juridiques volontaires mais également sur des conseiller(ère)s en communication et en gestion.

Lorsqu’aucun mandat n’est offert, il demeure possible de transmettre une candidature spontanée.

Conseiller(ère) juridique volontaire

Les conseiller(ère)s juridiques volontaires sont appelé(e)s à réaliser une diversité de tâches juridiques liées aux droits humains. Alors que certains volontaires [...]
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Conseiller(ère) en gestion

Les conseiller(ère)s en gestion seront amené(e)s à conseiller, assister et appuyer techniquement les partenaires dans la conduite de leurs activités. Ils/elles partag[...]
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Conseiller(ère) en communication

Les conseiller(ère)s en communication seront amené(e)s à conseiller, assister et appuyer techniquement les partenaires dans la conduite de leurs activités de communic[...]
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Mentor(e)

Les mentor(e)s sont des expert(e)s canadien(ne)s qui souhaitent participer au projet depuis le Canada en soutenant le travail des volontaires qui sont sur le terrain, par[...]
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Témoignages

Les coopérant(e)s volontaires, les partenaires et les bénéficiaires témoignent de leur expérience et l’impact de celle-ci dans leur vie.

Marie-Ève Houde

  • Pays : Tunisie
  • Durée : 2 semaines

Afin de partager son expertise comme conseillère en gestion et développement organisationnel, Marie-Ève Houde est partie en mission de courte durée en Tunisie en tant que coopérante volontaire du PRODEF. Spécialisée en gestion de petites équipes de travail d'ONG internationale, Marie-Ève a travaillé conjointement avec la directrice exécutive de l'Association AMAL pour développer des stratégies et des outils de gestion des ressources humaines. Le travail entre Marie-Ève et la directrice a dépassé les attentes! Une première version de tous les outils souhaités a été terminée et Marie-Ève a quitté la Tunisie en sachant que cette proposition, fruit des efforts mutuels, sera présentée au comité directeur pour sa révision, adoption et mise en place.

« En deux semaines, nous avons non seulement développé une première vision d'un manuel de l'employé, un guide de gestion administratif et financier, différents organigrammes actuel et prévisionnel, un modèle de contrat, un modèle de description de tâches, mais nous avons également réfléchi à la répartition des rôles et responsabilités dans l'équipe et développé un plan de révision, adoption et mise en oeuvre des différents outils développés ».

Armando Acuna

  • Pays : Guatemala
  • Durée : 8 mois

Armando Acuna a été conseiller juridique au sein du Bufete de derechos humanos (BDH) à Guatemala en 2015, pour un mandat qui, suite à quelques mois au bureau d’ASFC à Québec, a constitué son stage du Barreau.

« Lors de ma mission au Guatemala, j’ai pris conscience de la quantité de personnes qui ont besoin de se trouver des références sur ce qui se fait ailleurs pour imaginer jusqu’où ils peuvent aller aussi dans leur travail collectif. Cela m’a convaincu de l’importance de partager notre savoir dans une autre communauté. De plus, pour un jeune juriste, la coopération volontaire représente une occasion incontournable pour voir ce qui est réellement la pratique du droit humanitaire sur le terrain ».

Andrée-Anne Perrault-Girard

  • Pays : Honduras
  • Durée : 8 mois

Andrée-Anne Perrault-Girard a été conseillère juridique volontaire au Honduras en 2015, auprès de l'organisation partenaire Comité de Familiares de Detenidos – Desaparecidos de Honduras (COFADEH).

« Ouverture sur l’autre, ouverture sur le monde, immersion complète, chance unique d’avoir une vie complète et parallèle à celle toujours vécue sans aucun repère. Si vous jugez que donner deux dollars à une personne dans le besoin qui vous touche est un geste qui vous rend fière de qui vous êtes et de vos gestes, imaginez laisser tomber votre confort, vos habitudes et votre monde pour une cause plus grande que vous-même. Une cause qui a besoin d’une collectivité pour naître et survivre et auxquelles vous pouvez faire partie pour un moment ou pour toujours, car on va se le dire, on ne termine jamais vraiment un contrat de coopération volontaire. L’accepter c’est embrasser un mode de vie et admettre que ta vision du monde sera à jamais changée. Accepter un tel mandat signifie donc un défi immense, beaucoup de difficultés, mais aussi une foule d’opportunités encore inconnues et une grande fierté aussi simple que celle de réussir à s’adapter à une culture totalement différente ».

Foire aux questions

Q

Qu’est-ce que la coopération volontaire?

R

La coopération volontaire est un mécanisme par lequel, dans un esprit de renforcement de capacités et de solidarité internationale, des ressources humaines bénévoles sont déployées dans un cadre structuré pour la réalisation de mandats répondant aux besoins des organisations partenaires. La coopération volontaire se veut un échange réciproque – bilatéral ou multilatéral – de savoirs, d’expertises et d’expériences dans une optique de développement durable. 

Q

Quelles sont les étapes du processus de sélection ?

R

Les personnes intéressées répondent à un appel de candidatures ou transmettent une candidature spontanée (curriculum vitae et lettre de motivation). Les personnes sélectionnées sont ensuite contactées pour une entrevue téléphonique et sont invitées à compléter un examen écrit. À la suite de l’examen écrit, des entrevues sont réalisées et les références des personnes retenues sont contactées. Avant de confirmer la sélection d’une personne, le partenaire local est consulté. La formation est également une étape du processus de sélection, c’est-à-dire que le consortium se réserve le droit d’annuler une mission si la personne sélectionnée ne franchit pas cette étape avec succès.

Q

Quels sont les frais couverts ?

R

Tous les frais liés à l’affectation et à la formation sont couverts par le programme :

  • Transport pour se rendre au lieu de formation, si nécessaire;
  • Allocation journalière lors de la formation, si nécessaire;
  • Billet d’avion aller-retour;
  • Visa, si nécessaire;
  • Vaccins liés à l’affectation, si nécessaire;
  • Allocation de logement (le montant varie en fonction du pays d’affectation);
  • Allocation de subsistance couvrant notamment les frais pour la nourriture, le transport local et les assurances (le montant varie en fonction du pays d’affectation);
  • Bourse de réintégration seulement pour les coopérant(e)s volontaires qui passent plus de 12 mois sur le terrain (le montant varie en fonction de la durée du mandat).

** Les candidats de l’École du Barreau bénéficient des mêmes conditions que les autres coopérant(e)s volontaires. Si un(e) candidat(e) de l’École du Barreau est sélectionné(e), une bourse de 15 000$ lui sera accordée. Les frais couverts par le programme seront alors ajustés en conséquence.

Q

Un(e) coopérante volontaire peut être accompagné(e) par un(e) conjoint(e) ou un membre de sa famille?

R

Lorsque le contexte sécuritaire le permet, une personne sélectionnée peut être accompagnée par un(e) conjoint(e) et/ou un membre de sa famille. Cependant, les frais liés à l’accompagnement par un(e) conjoint(e) ou un membre de la famille ne sont pas couverts.

Q

Est-ce que les coopérant(e)s volontaires reçoivent un salaire ?

R

Les allocations reçues par les coopérant(e)s volontaires ne constituent pas un salaire, mais bien des allocations permettant de couvrir les frais liés à l’affectation.

Q

Dois-je maîtriser l’espagnol pour être sélectionné ?

R

Pour être déployé(e) dans un pays hispanophone, il est nécessaire de bien s’exprimer en espagnol à l’oral comme à l’écrit. Ceci étant, une maîtrise parfaite n’est pas attendue.